Position de contrôle
La position d’Amazone inversée
Lorsque nous sommes dans le Jeu et que je suis la Princesse, c’est une des positions que je préfère si j’ai envie de pénétration.
Je me mets dos à lui, je ne vois pas son visage, ses expressions, et si j’ai pris le soin de lui mettre un bâillon, je ne l’entends même pas.
Je peux ainsi me concentrer sur mon plaisir, sur mon seul plaisir.
S’il a les mains libres, il peut me caresser les fesses, j’adooore.
Un contrôle total
Mais la plupart du temps, je l’attache préalablement au moyen d’attaches de lit qui le maintiennent bras et jambes écartés. Il est totalement en mon pouvoir.
Si j’ai envie de pénétration sans qu’il puisse jouir, je lui mets un préservatif retardant. J’avais fait un article sur le sujet à lire ici
Bien sûr on peut lui mettre un peu de lidocaïne et lui poser un préservatif par-dessus. Mais il y a des préservatifs tout prêts et anodins pour la santé. Autant les utiliser.
Je peux alors m’amuser avec lui sans crainte ou presque qu’il ne parte sans que je le veuille.
Jouir deux fois de suite sur sa queue alors qu’il n’éjacule même pas, c’est une expérience amusante et… jouissive, croyez-moi.
Mais parfois, je lui ai promis un orgasme et je le lui accorderai.
Il ne sait jamais si je lui donnerai un vrai orgasme ou un orgasme ruiné.
Pour le lui ruiner, c’est assez facile dans cette position. Sa queue est tendue et vous la sentez parfaitement en vous.
Dès qu’il commence à spasmer, je me retire, j’observe et je m’amuse d’avoir arrêté juste à temps. Je préfère qu’il ne parte pas au lieu que je me retire trop tard et qu’il ait un vrai orgasme.
Je peux l’amener ainsi plusieurs fois au bord de l’éjaculation mais sans qu’il dépasse la ligne rouge.
En allant de plus en plus près, il arrive naturellement que l’inévitable arrive. Mais si j’ai bien calculé mon coup, je peux voir sa queue sortir de moi, tomber sur son ventre, vibrer dans le vide et finir par cracher sa semence plus ou moins fort, avec plus ou moins de spasmes.
Le graal est naturellement qu’il s’écoule jusqu’à 4 à 5 secondes entre le moment à je me retire et celui où il finit par partir. Et c’est alors un misérable écoulement qui n’arrive même pas à lui apporter une jouissance.
Sa tête dans ces cas-là !
Et s’il jouit vraiment ?
Enfin, il m’arrive naturellement de lui permettre d’aller au bout pour un vrai orgasme.
C’est une énorme récompense pour lui, d’autant plus grande qu’il aura longtemps attendu.
Et je sais qu’il y aura derrière une période réfractaire qui le laissera béatement satisfait et au cours de laquelle j’aurai un mal fou à le reprendre en mains, où il sera désobéissant, râleur, acrimonieux parfois.
Alors il doit le payer un peu.
Je sais qu’il déteste, comme tous les hommes hétéro, l’odeur et le goût du sperme.
Alors, dans cette position il me suffit de me reculer de quelques dizaines de centimètres pour que ma chatte dégoulinante se retrouve juste au-dessus de sa bouche.
Je l’oblige à me lécher, à avaler ses secrétions mêlées aux miennes.
Et puisque la plupart du temps il a été éjaculateur précoce après une bonne période d’abstinence, je profite de la position pour qu’il me donne le plaisir que je n’ai pu avoir.