Le paddle
Une punition
Vous me connaissez maintenant, je suis une gentille fille de nature.
Je préfère nettement l’emprise psychologique à la force. Et même si je sais qu’il accepte que je lui applique des punitions, je rechigne en général à le faire. je préfère le prendre par la persuasion.
Mais parfois il arrive qu’il dépasse les bornes, que je sois énervée. Alors, je sévis.
Et je sais que lui attend de moi que parfois je sois sévère avec lui, même s’il peut le regretter ensuite… ou pas
Combiner les effets
Pour que ce soit efficace, une punition ne doit jamais être appliquée par la keyholder sous le coup de la colère. Ce serait une marque de faiblesse de sa part.
Cela signifierait que je ne maitriserais pas et que lui pourrait provoquer chez moi des comportements qu’il pourrait induire. Ce serait une inversion du pouvoir.
Une claque que je lui donnerais de façon impulsive à la suite d’un comportement que je réprouverais de sa part ne serait pas une marque de mon autorité mais une réponse à sa sollicitation.
Je prends donc mon temps. Je peux lui dire sur le moment “cela se paiera” mais je ne réagis jamais physiquement tout de suite.
Et pour être efficace, c’est bien de combiner au moins deux types de punition différents.
Un exemple
L’autre jour, je l’avais emmené avec moi faire les courses. j’avais besoin d’un nouveau pull fin en cashmere et nous avons fait les grands magasins.
Comme il se doit, je n’ai pas regardé que les pulls et j’ai visité tous les stands de tous les étages consacrés à la mode féminine. On peut tomber par hasard sur quelque chose que l’on ne cherchait pas et ce sont en général les meilleurs achats.
Mais je ne sais pas ce qu’il avait ce matin-là il râlait, il trainait. Il m’a même refusé un moment de porter mon sac à main pour que j’aie les mains libres sous prétexte que tout le monde allait se moquer de lui.
Je lui ai donc dit fermement qu’il aurait droit à une sanction en rentrant.
Je n’ai rien fait tout de suite. On a mangé à la maison. Je suis ressortie faire d’autres courses.
Et, juste avant de rentrer, je lui ai envoyé un texto pour lui demander de se déshabiller, de se tenir devant la porte d’entrée en attendant mon retour pour que je m’occupe de son cas.
Lorsque je suis arrivée devant ma porte d’entrée, je n’ai pas sorti mes clés mais j’ai sonné pour qu’il vienne m’ouvrir. C’était amusant, il était terrifié que la voisine ou quelqu’un d’un autre étage passe à ce moment-là et puisse le voir.
Je l’ai ensuite mis au coin en position spéciale : les mains appuyées sur le mur de telle façon qu’il soit penché en avant avec les fesses offertes.
Je lui ai alors parlé et l’ai interrogé sur ce qui s’était passé le matin. Au bout d’un long moment, je lui ai fait avouer que son comportement avait été totalement inapproprié. Et j’ai même réussi à lui faire cracher qu’il méritait une punition.
Je lui ai donc annoncé la sentence. ce seraient 15 coups de paddle.
En attendant, lui ai-je dit, tu vas rester dans cette position une demi-heure avant ta fessée.
Et j’ai vaqué à mes occupations.
Appliquer une sanction au paddle
Il était dans une position assez inconfortable et je le voyais essayer de soulager ses muscles tétanisés mais je n’ai eu aucune pitié, j’ai attendu que la demi-heure soit écoulée.
Je voulais qu’il ait tout le temps pour anticiper la punition, imaginer la douleur, se demander avec quel instrument je sévirais. Cela décuple l’effet d’une sanction.
Puis je me suis rapprochée de lui et lui ai passé la paddle devant son visage pour qu’il l’embrasse.
Il n’y a pas mis beaucoup d’enthousiasme alors qu’elle est très jolie cette paddle avec ces petits cœurs, non ?
Je trouve que c’est un instrument très pratique. Suffisamment large pour ne pas blesser. Elle est redoutablement efficace pour permettre de rougir uniformément les fesses. Et contrairement aux fessées, je ne me fais pas mal aux mains.
C’est amusant mais il essayait de bander dans sa cage. La perspective de la punition avait donc un certain effet érotique sur lui.
Je lui ai imposé de compter chacun des coups à haute voix. Et je me suis ingéniée à adopter un rythme très aléatoire. Je le voyais qui crispait les fessiers dans l’attente du prochain coup et je prenais un malin plaisir à taper lorsqu’il se relâchait.
Lorsque j’en ai eu terminé, j’ai entrepris de débriefer avec lui cette punition et ce qui l’avait causée. Il avait eu mal, ça c’était sûr, il avait fini par crier et sa queue était toute recroquevillée dans son étui. Il était très inconfortable mais je l’ai laissé avec les mains sur le mur.
Il s’est excusé. A admis que cette punition était méritée. Et j’ai même réussi à lui faire dire que j’avais eu raison et qu’il me remerciait. Bon, il en avait vraiment marre et était prêt à tout pour que je le lache.
Je dois avouer que cela m’avait mis le feu aux organes.
Je l’ai entraîné dans la chambre, j’ai retiré sa cage et nous avons fait l’amour. Je me suis laissée prendre en missionnaire. J’avais dans l’idée qu’il associerait cette punition sévère avec un plaisir rare pour lui. Cela me serait utile pour l’avenir.
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