Jouer avec ses petits tétins
Ses petits tétins sont de merveilleux jouets.
J’adore les torturer gentiment – ou pas…
J’ai des pinces accrochées à une chainette que je lui pose sur ses petites extrémités si sensibles.
Je peux en régler la force grâce à des petites vis. Je lui demande naturellement si cela lui fait mal. Mais je sais bien que je peux diviser par deux le degré de douleur qu’il m’indique, c’est une vraie chochotte.
Je les lui installe. Puis je tire sur la chainette et je m’en sers comme d’une rêne pour le faire avancer, lui donner la direction comme on ferait d’un cheval, ou plutôt d’un âne.
Un jour il faudra que j’y suspende des poids de plus en plus lourds pour voir jusqu’où je peux aller.
Mais pour l’instant ils manquent encore d’entrainement, il faut y aller progressivement.
La douleur est dans la libération
Après avoir joué un moment, je serre un peu plus et je les lui laisse pendant 5 bonnes minutes alors que je m’occupe d’autres parties de son corps.
Paradoxalement c’est quand je es lui retire qu’il a alors le plus mal, il en hurlerait parfois.
Mais le but n’est pas de le torturer en lui faisant trop mal. C’est plus le contraste qui est intéressant.
Car lorsque je m’amuse à les lécher, à les suçoter, à les mordiller, ils sont devenus incroyablement sensibles.
Me petit mari est alors un jouet dont je joue et me joue comme un instrument de musique.