Je l’aime nu et vulnérable
Nous sommes ensemble depuis des années. Cela ne fait rien, le simple fait qu’il soit nu et moi habillée introduit tout de suite un rapport différent entre nous.
Bon, il n’est jamais complètement nu dans ces moments-là, il porte sa petite cage. Et parfois, je l’autorise à mettre un tablier, notamment quand il cuisine. Il ne faudrait pas qu’une projection de graisse bouillante vienne abimer mon petit oiseau. Je dis MON parce que la bestiole qui se tient entre ses jambes est bien mienne.
Justement, à propos du bigorneau, celui-ci se comporte comme l’aiguille d’un instrument de mesure. Je peux juger instantanément de son état d’esprit en voyant comment il remplit la cage.
Le fait que moi je sois habillée montre bien que sa nudité n’est pas naturelle. Elle n’est pas le fait de la chaleur et des vacances. Non, s’il est nu, c’est parce que je le veux, parce que je le lui ai ordonné. Il est à moi, je le démontre en le faisant se tenir dans une tenue qui lui retire son statut social.
Et j’en profite !
J’adore le cul des hommes et j’ai une certaine tendresse pour le sien. Bon, il n’est plus un jeunot au cul ferme et rebondi. Mais j’aime son cul, c’est comme ça…
Comme il est nu, je peux le mater. Je peux caresser son cul au passage, prendre une fesse dans ma paume. Me coller contre lui lorsqu’il cuisine et y mettre les deux mains. Remonter vers ses petits tétins si sensibles. Les titiller jusqu’à le faire ronronner de plaisir puis soudain les pincer très fort, juste pour le sentir sursauter contre moi en poussant un petit cri.
Et si l’envie me prend ou s’il mérite d’être puni, il est prêt pour de bonnes claques sur les fesses. J’adore voir ses globes rebondir sous l’effet du plat de mes mains. Il essaie de se sauver, de se retourner ? Je lui montre ma colère. Je lui ordonne de ne pas bouger. Je lui annonce qu’il mérite tant de coups et je lui demande de les compter. S’il bouge en m’empêchant d’atteindre correctement ma cible, j’augmente d’autant la sentence.
A la fin, j’examine ses petites fesses rougies, je les caresse, je les couvre de petits baiser humides. Je lui dis des mots tendres et… cela se termine souvent au lit. Lui donner la fessée m’excite au plus haut point. Et lui aussi si j’en crois l’état de son bigorneau dans sa cage.
Mais là il ne s’agit que de MON plaisir, une libération n’est pas prévue pour lui.