Après le carotte, le bâton !

Le management positif c’est bien mais ce n’est pas la panacée. Il faut notamment savoir fixer des limites. Et le dépassement des limites doit être sanctionné.

Parfois, notamment au début des périodes d’enfermement, il peut râler, faire le malin, voire être insolent. Ce sont des comportements qui finalement sont assez proches de ceux des enfants qui testent les limites.

Ne vous mettez pas en colère, cela serait contre-productif. Au contraire, profitez du fait que ce soit un adulte pour le faire réfléchir sur son comportement.

Décidez d’une sanction. Annoncez-la lui en prévoyant un délai pour la lui appliquer. Par exemple, il n’a pas obtempéré lorsque vous lui avez ordonné d’aller préparer votre petit déjeuner avant de partir au travail. Vous allez lui dire :

” Tu as rechigné à te lever ce matin pour me préparer le petit déjeuner et, clairement c’était une façon de me défier. Je ne vais pas me fâcher maintenant, j’ai autre chose à faire. Mais je te préviens que ce soir tu auras le droit à une punition. D’abord je vais rajouter un jour avant ta prochaine délivrance. Tu vois je le note sur mon carnet rouge.

Ensuite, puisque tu t’es comporté comme un enfant rétif, tu vas avoir droit à une punition…

Et vous lui annoncez la sentence complète : nature de la punition ET quantité

Différents types de punition

La corvée :

Il est déjà en charge d’une certaine liste de tâches ménagères. Ajoutez-en provisoirement. Ou ajoutez une tâche particulièrement ingrate que l’on ne fait que rarement : nettoyer la cave, le garage ou le grenier. Détartrer soigneusement les toilettes dans les moindres recoins avec une brosse à dents… L’avantage est de joindre l’utile de la punition à l’agrément d’une amélioration de votre confort domestique.

La sanction corporelle :

On peut utiliser de nombreux ustensiles : cravache, martinet, paddle et même des ustensiles de cuisine comme les planches ou cuillères en bois. Ce dernier exemple est particulièrement savoureux si sa faute est relative à la cuisine justement.

Je reviendrai dans un autre article sur les qualités des sanctions corporelles.

Outre leurs vertus pédagogiques, elles présentent l’avantage d’érotiser vos relations comme par exemple dans ce post : Faire rougir un cul blanc Et il ne faut jamais se priver d’érotisation dans le processus d’emprise que vous mettez en place.

Les immobilisations :

Là aussi j’y reviendrai. Les immobilisations ont des vertus extraordinaires en ce qu’elles sont vraiment contraignantes pour certains hommes et que, surtout, elles ont la vertu de les obliger à penser exclusivement à nous et à ses fautes pendant un long moment.

Les privations :

Privation de télé, de smartphone de ses matchs de rugby pendant une période déterminée. Là encore la durée est pédagogique. Pendant plusieurs jours – ou plus – il pensera systématiquement à vous et à ses bêtises lorsqu’il voudra faire quelque chose que vous lui avez interdite.

Privation d’accès à une partie de votre corps :

Ne sous-estimez pas le pouvoir érotique de votre corps. Lorsqu’il est en cage, toute son énergie sexuelle est contrôlée et orientée pour se concentrer sur votre corps. Notamment les parties les plus érotiques. Et ce n’est pas que le toucher. la vue, l’odorat concourent à sont attraction.

Interdisez lui de voir ou de toucher vos seins ou votre chatte pendant une semaine, il en sera intensément frustré. Vous trouverez facilement les moyens de concilier cette privation avec les légitimes besoins que vous aurez de vous apporter du plaisir.

Et vous ? Comment gérez-vous les sanctions ? Cela m’intéresserait d’avoir également les avis des hommes. Commentez ci-dessous pour répondre !

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