Savoir donner un ordre

La keyholder claque les doigts pour faire obéir son mari en cage de chasteté.

La claquement de doigt

C’est pour moi le symbole même de l’autorité.

Un claquement des doigts et il se fige, tourne la tête vers moi, me regarde intensément.

Je lui désigne alors le sol si je veux qu’il vienne à genoux devant moi. Je lui désigne la porte si je veux qu’il me laisse dans la salon et qu’il aille dans la chambre. Je lui désigne le coin si je veux qu’il aille méditer sur un faute ou une erreur de sa part. Je lui montre l’arrière de mon oreille si je veux un baiser. Je fais mine de boire si je veux mon thé.

Point besoin de parole. Il doit comprendre. Il a INTERET à comprendre. Car sinon, gare !

Il est donc toujours en éveil. Il guette mes désirs, il essaie d’anticiper ce rappel à l’ordre qu’est un claquement de doigts.

En public

En public c’est moins facile. Quoique j’adore son air irrité et un peu honteux lorsque je claque les doigts en public lorsque nous somme dans une assemblé anonyme. Il rougit le pauvre.

Mais en présence de connaissances ou lorsqu’il serait possible qu’une de nos relations nous voie, j’évite ce signe sans ambiguïté.

Nous avons d’autres codes : je fronce les sourcils. Ou plutôt un sourcil. J’ai les sourcils un peu asymétriques, au moins dans le froncement et je peux très bien arriver à ne froncer qu’un sourcil.

Lorsque j’émet ce signal, il sait ce qu’il a à faire. Deviner ce que je veux et obtempérer immédiatement.

Il veut se resservir un verre alors qu’il a déjà un peu bu. Stop !

Il monopolise la conversation en polémiquant. Stop ! Moi je vais parler.

Il défend une thèse qui n’est pas la mienne. Reviens sur ta position et défends la mienne !

Les femmes se lèvent pour débarrasser (malheureusement c’est encore le cas majoritairement). Un haussement de sourcil de ma part et il se retrouve le seul homme à rapporter la vaisselle à la cuisine.

Il commande un plat qui est trop gras au restaurant. Stop ! Et il demande d’un air penaud un autre plat plus diététique au serveur.

Même devant sa famille

Et peut-être surtout devant sa famille, j’adore le contraindre subtilement sans que personne ne le remarque.

Sa mère me dit qu’il est devenu vraiment formidable depuis qu’il est avec moi. Je ne la démens pas…

Pour profiter de mon pouvoir, je m’amuse à le faire rougir avec la clé que je sors discrètement entre deux portes.

Je lui mets subrepticement ma culotte dans sa poche et je lui glisse de regarder s’il n’a pas un mouchoir dans son jean.

Sa tête lorsqu’il comprend ce qu’il trouve ! Je passe alors mon temps à lui glisser à l’oreille que je suis sans culotte sous ma jupe et je m’amuse en pensant à sa queue qui essaie de grossir dans sa cage. Il a du mal à se concentrer sur la conversation, surtout avec sa famille.

L’autorité n’a pas besoin de violence, juste de subtilité et de détermination.

Et vous, comment faites vous dans votre couple ?

Dites le moi en commentant ci-dessous

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2 Comments

  1. Huuuum cela pourrait être sympa en sachant qu’il y à que nous deux qui comprend ce que cela veut dire se geste et en privé la Maîtresse trouve un prénom féminin afin de se sentir encore plus humilier

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