Ruiné !

Cruelle

Je sais, je suis parfois cruelle.

Mais c’est lui qui l’a bien voulu. Au début de notre mariage, je ne connaissais rien à tous ces petits amusements.

Et puis, il s’est mis en position de vulnérabilité en me proposant de prendre le contrôle.

J’ai pris le contrôle.

Et j’ai pu expérimenter.

Attachez votre bonhomme avec des entraves efficaces (pas comme au début quand je lui attachais les mains sur le devant et qu’il pouvait se défendre). Je vous en ai montré dans ce post par exemple : ici

Lorsqu’il a les mains et bras écartés, il ne peut rien faire, RIEN. Vous pouvez le libérer de sa cage. Vous être la maîtresse.

Vous avez alors tout le temps d’explorer ,de découvrir ses réactions, de surveiller ses montées vers la jouissance.

Vous allez sans doute vous louper une ou deux fois. Il ne vous aura pas prévenue à temps et vous serez allée trop loin. Vous vous retrouverez avec sa semence épandue sur son ventre.

D’abord, punissez-le afin qu’il ne recommence pas. Récupérez ses dégâts avec une petite cuillère et faites-lui avaler. Vous verrez qu’il criera la prochaine fois que vous vous approcherez trop près et qu’il risquera de partir.

Ensuite, ce n’est pas grave, remettez la cage. Vous reprendrez quelques jours plus tard. Vous êtes la maîtresse des horloges.

Alternez

Moi ce que j’adore, c’est jouer avec son engin. Je le léchouille, je lui titille le frein, j’observe ses gonflements, ses contractions.

Je me le présente à l’entrée de ma grotte. Je me titille le bouton du bout de son gland.

Puis je l’abandonne, m’amuse de le voir dégonfler, devenir demi-molle.

Je reprends alors mes jeux. la regarde reprendre vigueur, observe son liquide lubrifiant perler au méat. J’en prélève une goutte de bout de la langue.

Puis je le branle d’un geste ferme, entends comment il se met à gémir puis à grogner.

Je m’arrête alors, me positionne en 68 (voir ici) pour lui demander de me lécher. Je prends mon plaisir puis je prends mon temps en descendant dans les tours.

Et j’y reviens lorsque la bestiole est devenue totalement flasque. Juste pour le plaisir de voir ses veines gonfler et le gland ressortir du prépuce, de plus en plus violacé en même temps qu’elle se déploie.

Ruiner

Lorsque je sens que le moment est venu, je saisis fortement sa queue. J’effectue quelques va-et-vient vigoureux. Il n’y en pas besoin de beaucoup tant il n’en peut plus.

Je cesse tout mouvement avec les mains, je me penche vers son engin, je le décalotte au maximum et passe ma langue sur son frein de bas vers le haut. Quelques fois suffisent en général. Sa queue commence à vibrer, à spasmer.

J’arrête tout et je serre fortement la base de la verge.

Il pousse alors généralement un hurlement de dépit. Et je vois sa crème sortir paresseusement de son méat tandis que je sens sous mes doigts la protestation de sa queue qui ne peut se décharger librement.

Si j’arrive à ce qu’il n’y ait aucun jaillissement, je sais que j’ai réussi parfaitement la manoeuvre.

Il se sera vidé mais son désir restera intact, son excitation n’aura pas disparu. Il n’aura pas cette stupide période période réfractaire qui me fait perdre une partie de mon contrôle sur lui.

Il restera en mon pouvoir.

Mon pouvoir érotique.

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