Provocation

En public

Lorsqu’il est en cage, j’aime bien que nous sortions ensemble.

Ce peut être pour faire des courses. Il doit me suivre dans tous les rayons de tous le magasins malgré son horreur de ce genre d’activité. Il doit me donner son avis lorsqu’il m’accompagne dans les cabines d’essayage.

Je sais qu’il mate les filles qui font des essayages à côté. Mais je m’en fiche, je contrôle.

Au restaurant

En été, je choisis une terrasse au bord d’une rue passante. Je sais qu’il ressemble alors au loup de Tex Avery. Il suit avec les yeux exorbités les nénettes qui passent avec des seins libres sous leurs tee-shirts. Il regarde les jambes qui émergent des micro jupes.

Ca c’est ce qu’il fait dans un premier temps. Je connais mon bonhomme. Cela le fait bander et la cage devient de plus en plus petite. Surtout lorsque j’ai choisi la mini métallique.

Alors au bout d’un certain temps, il commence à me regarder d’un air suppliant.

Je lui demande s’il va bien. Il m’explique qu’il se sent à l’étroit. Je lui demande pourquoi. Il ne me répond rien. J’insiste. Il bredouille de minables explications.

Je m’amuse alors à l’interroger sur l’état de sa petite queue en cage. Je vérifie que c’est bien ça. Je lui demande pourquoi il bande. Il ne sait que répondre.

Il est ferré comme un poisson au bout de la ligne

Mais il est ferré. L’hameçon est rentré dans son cerveau. J’insiste sur la question de sa queue dans la cage. Je sais que cela le fait encore plus bander. Qu’il ressent encore plus mon emprise sur sa queue. Que cette emprise sur sa queue se transforme en emprise sur son esprit.

Je peux alors focaliser absolument toute son attention.

Je joue avec ma clé au bout de sa chaine. Vous savez, cette magnifique clé que j’ai achetée pour presque rien sur Internet :

Elle est jolie avec cette forme de cœur. Elle peut se porter en bijou de façon totalement légitime. C’est beaucoup moins moche que ces clés de cadenas banales.

Et elle est vendue avec une serrure qui peut s’adapter à toutes nos cages.

Bref, je le provoque avec cette clé qui se balade entre mes seins. Je me penche en avant pour qu’il voie bien. Je lui dévoile un téton. Il en devient fou !

Je peux aussi aller aux toilettes et revenir avec ma culotte que je lui dépose délicatement entre les mains. Là encore il devient fou.

C’est moi la Princesse

Chose amusante, il a commencé à mater toutes les autres filles.

Miracle de la cage, très vite, il se focalise sur moi. Et moi seule !

Une pétasse blonde avec de gros seins passe devant lui avec une jupe à ras le minou, il ne la regarde même plus.

En revanche, que je l’effleure, que j’adopte une attitude un peu provoquante, que je le titille en paroles et il devient fou. Il ne regarde plus que moi. Il n’écoute plus que moi.

Je suis son seul et unique sujet d’attention.

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