Je suis bien bonne

keyholder jambes écartées qui fait face à son mari à genoux devant elle et qui le provoque

C’était en vacances

J’avais décidé que nous prendrions le petit déjeuner à l’hôtel dans notre chambre.

Il était en cage, c’était une période de Jeu. Et il était dans une période où sa frustration n’avait pas encore atteint son maximum.

J’avais donc décidé de jouer avec son mental pour accentuer son état de dépendance. Je voulais l’exciter pour qu’il perde ses moyens.

Je lui ai donc dit de commander le petit déjeuner et, lorsque la femme de chambre est arrivée, je lui ai dit d’aller lui ouvrir. Il a voulu s’habiller, mais je lui ai juste autorisé à s’enrouler une serviette autour de la taille. C’est amusant, il a serré la serviette aves le maximum de force pour s’assurer qu’elle ne tombe pas, si bien qu’il avait le ventre qui dépassait de manière ridicule.

Quant à moi je suis restée dans mon lit sous le drap et j’ai observé le sourire aux lèvres.

La serveuse a paru un peu surprise de voir mon petit mari dans cette tenue, mais elle ne pouvait rien dire, les limites de la décence n’étaient absolument pas dépassées.

Elle a juste un peut tiqué lorsque j’ai dit à mon mari sur un ton ferme : allez, prends le plateau, tu ne vas pas laisser madame le porter. Excuse toi de ne pas le lui avoir proposé tout de suite !

Il a bredouillé un “Désolé Madame” en rougissant tandis que la femme repartait avec un drôle d’air, à la fois surprise et amusée.

Et nous nous sommes retrouvés tous les deux.

Je lui ai dit de retirer cette serviette ridicule. Il l’a enlevée et je me suis aperçue que cette petite humiliation publique lui avait fait de l’effet, il bandouillait dans sa cage.

Cette petite scène m’avait excitée

Je lui ai fait servir mon thé, couper en deux mon croissant, le beurrer et le fourrer de confiture (j’adore ça). Et je lui ai dit qu’il lui faudrait patienter que j’aie terminé mon petit déjeuner avant de prendre le sien.

Et que d’ailleurs, je ne savais pas s’il le méritait, il n’y avait qu’à voir son ventre ridicule qu’il avait montré à la serveuse.

Tu es gras comme un cochon en ce moment !

Et j’ai dégusté mon petit déjeuner tandis qu’il se tenait à genoux par terre devant moi.

Le connaissant, je n’avais pas de mal à le torturer mentalement. Tout simplement en écartant largement les jambes devant lui. Il ressemblait au loup de Tex Avery et me fixait la chatte les yeux exorbités. Bien sûr, il remplissait sa cage et un peu de precum perlait au bout de son méat.

Récompense

Je me suis moquée encore un peu de lui en parole.

Mais tout cela m’avait excitée. Et j’ai eu une envie subite. J’ai pris une petite cuillère de confiture que j’ai étalée dans ma vulve. Il avait les yeux encore plus sortis des orbites, fasciné par mes gestes.

Allez, viens prendre ton petit déjeuner lui ai-je fait.

Je ne sais pas s’il a aimé la confiture et si cela l’a nourri… Mais pour ma part, je vous garantis que j’ai joui comme une folle.

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