Rester en contrôle

la keyholder habillée regarde son mari soumis nu à genoux devant elle. Ses mains sont attachées par des menottes reliées à un collier de chien; Il a un bâillon-boule. Son pénis est en liberté hors de la cage de chasteté. Il commence à bander

Liberté ?

Comme je l’ai déjà dit maintes fois – et je le redis en tant que médecin – il faut de temps à autres laisser à la bestiole un peu de liberté.

Parce qu’elle doit savoir encore bander. Que ses corps caverneux puissent se gorger de sang et faire la verge pointer.

Parce que ces petites choses sont fragiles. Et plus encore le mental de votre chéri.

S’il n’a pas pu bander depuis un certain temps, il risque d’avoir du mal pour faire le male.

Oh, pas que vous vouliez le laisser aller jusqu’au bout. Non, juste pour maintenir la machine en état de marche.

Frustration

Et puis, mais c’est en tant que femme d’un couple pratiquant la CMC que je parle cette fois, il faut aussi maintenir une emprise sur son mental.

Pour que vous gardiez votre pouvoir, il faut qu’il soit en demande par rapport à vous. Il faut qu’il soit frustré, qu’il n’en puisse plus. Qu’il en soit à vous supplier de lui accorder un orgasme.

Et cela naturellement suppose que son bigorneau ne soit pas anesthésié par des jours contraint dans une toute petite cage.

Il faut qu’il soit régulièrement en position de pouvoir jouir…

Mais sans que vous l’autorisiez à jouir !

Il faut qu’il éprouve l’ivresse male de la bandaison mais sans la conclusion autrefois logique qu’appelait cette bandaison.

Tout est prêt pour qu’i jouisse et la jouissance lui est interdite. et pas par la contrainte mécanique de la cage, non, par votre seule volonté.

Contrôle

Bon, il faut être réaliste. Lorsqu’il n’en peut plus et que sa queue est en liberté, un accident est vite arrivé.

C’est pourquoi, même avec le contrôle mental que j’exerce sur lui, et même avec l’envie qu’il a de me faire plaisir en m’obéissant, je préfère prendre des précautions.

Alors que sa queue soit hors de portée de ses pattes est un minimum.

J’aime bien lui mette un collier (il y en a de vraiment pas chers et très chouettes dans les animaleries). Sur le plan symbolique c’est aussi assez fort. Je lui attache ses mimines dans des menottes de cuir et je les relie à l’anneau du collier.

Avantage supplémentaire, il ne peut se protéger les tétins qui sont exposés à tous mes caprices. Je m’amuse à les lui stimuler, à le faire bander comme un fou. Et soudain, je les mordille violemment, sa queue fait moins la fière.

Et s’il crie, je lui pose un bâillon.

Je fais mine de l’interroger. Il ne peut répondre et j’en profite : Bon, puisque tu n’y vois pas d’objection, je vais faire ceci ou cela ou alors : Bon, puisque tu n’es pas capable de me demander correctement de jouir c’est que tu n’en as pas vraiment envie.

Ses yeux dans ces moments-là !

Humilité

Et puis j’aime bien que dans ces moments où sa queue a le droit de pointer, qu’il soit dans une position de totale modestie.

A genoux, les jambes écartées, le torse bien droit, nu devant moi qui reste habillée.

Il sait qui a le pouvoir Il sait qui décide.

Il ne fait pas le malin.

Surtout que du pied je m’amuse à lui secouer l’engin.

Il a peur, il est tellement vulnérable mon petit chéri.

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2 Comments

  1. Vous êtes véritablement de très bon conseils,on sent l amour de la domination mais en même temps vous savez vous mettre a la place du soumis ..👍👍👍

  2. Comme vous dites, il faut que ça respire, et oui sous un contrôle absolu sinon il se tripote

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