Il ne bande pas, il mouille
Un constat incroyable
C’était l’autre jour. Il était en cage, je l’avais entraîné sur le lit et nous jouions à nous caresser; à nous titiller, à nous exciter.
Et je me suis rendue compte d’un seul coup que toute la différence avec ce même jeu que j’aurais pu faire avec lui en liberté était justement que son sexe n’était plus son sexe en étant enfermé comme il l’était.
Il ne pouvait bander. Je n’avais aucun risque que sa queue raide puisse envahir un de mes orifices. Je n’avais aucune pression de la pénétration. Il était comme moi. Il mouillait mais ne bandait pas.
Pour être excité, il était excité. Il suffisait de voir sa queue essayer de gonfler entre les barreaux. Il suffisait de voir s’écouler ce precum que j’adore venir lécher de l’extrémité de la langue avec son goût salé tellement différent et plus délicat que sa semence.
A parité
Nous étions à parité.
Chacun pouvait solliciter l’autre sur les seins, les masser, en parcourir l’aréole, se concentrer sur les tétins pour les lécher, les pincer, les mordiller.
Chacun pouvait jouer avec le cul de l’autre pour embrasser les fesses, lécher l’intérieur délicat des cuisses, remonter dans son sillon intime jusqu’à la délicate rosette à cueillir de la langue.
Chacun pouvait se frotter contre l’autre pour se sentir peau contre peau.
Enfin presque…
Bon, il faut avouer que nous n’avons pas été à parité jusqu’au bout.
Nous avons fini dans un 68 épique. (voir ici pour les sensations que cela me procure)
Moi j’ai joui comme une folle.
Lui était un peu frustré lorsque je lui ai expliqué que c’était trop bon de le maintenir comme ça enfermé et que je perdrais tous les bénéfices de sa chasteté si je le laissais jouir.
Il a un peu râlé mais c’est tellement bon…
Jouir sans entrave, sans pression, sans bite pour s’imposer dans le jeu.