Le bâillon

Le bâillon

J’ai déjà parlé du pouvoir du bâillon et surtout de la façon de l’utiliser, notamment dans ce post là

Attention, nous devons être prudentes
J’utilise donc un bâillon-boule avec des trous pour être sûre qu’il n’y ait pas d’accident.

Pour optimiser l’effet du bâillon, le mieux est encore qu’il soit immobilisé totalement.

Vulnérabilité

Le fait qu’il ne puisse pas parler, qu’il ne puisse pas répondre, qu’il ne puisse pas se plaindre est un must, croyez-moi. Surtout si son corps est immobilisé.

J’adore par exemple lui poser une question du genre : est-ce que tu veux que j’y aille plus fort sur tes tétons ?

Il essaye de me répondre mais naturellement je ne comprends rien et j’ignore les mouvements de sa tête (je me retourne exprès)

Il tente de reprendre sa réponse mais je n’entends que des grommellements indistincts.

Je lui dis que je considère qu’il a dit oui. Et je reprends la torture de ses petits tétins. Il geint de façon tout à fait amusante en essayant vainement de remuer son corps pour échapper à mes ongles ou mes dents.

Je m’amuse également de sa difficulté à avaler sa salive qui le fait baver. C’est assez humiliant pour lui qui est si soucieux de son corps et de son apparence.

Ce sera à lui de nettoyer après.

Je peux aussi m’amuser en lui demandant s’il préfère que je le libère et que je le suce ou que je prenne le dildo pour le pénétrer sauvagement.

Devant son absence de réponse claire, devinez ce que je choisis comme solution !

Pouvoir

Pour la keyholder, c’est un sentiment assez enivrant. La sensation d’un pouvoir absolu. Pas besoin d’argumenter, pas besoin d’entendre ses craintes, pas besoin d’endurer ses jérémiades.

Quoi que je fasse, il ne peut protester.

Je peux donc tout explorer.

Ce que je veux moi, pas ce qu’il aurait tendance à vouloir me suggérer.

Bien sûr, nous gardons une sorte de safeword. Si jamais j’entendais Mmm… Mmm… Mmm… trois fois bien distinctement, je saurais qu’il y a danger.

Mais jamais je n’en arrive là, je maîtrise les choses pour rester juste en deçà de ses limites. Je pousse jusqu’à ce que je sente qu’il n’en peut plus. Et j’y reviens. Et je tente une autre limite…

Il sait que s’il utilisait le safeword, je serais tellement contrariée qu’il le paierait très très longtemps. Dans la pratique, il ne l’utilise jamais.