Son cul
La partie la plus érotique de l’homme
Pour nous, c’est clairement le cul.
Regardez les magazines féminins, qu’est-ce qui est montré dans les pubs qui montrent des hommes ? Leur cul !
Qu’est-ce que vous faites quand vous avez croisé un mec séduisant dans la rue ? Vous vous retournez pour voir son cul !
De quoi avez-vous envie chez lui comme oreiller ? Son cul !
NB : bon, il faut que j’avoue que j’aime bien également me lover dans le creux de son épaule.
Mais globalement, ce qu’on aime chez lui c’est son cul !
Pas son “large poitrail”, sa queue dont il est si fier, ses cuisses musculeuses, encore moins ses biceps qui font son orgueil…
Non, c’est son cul !
De multiples usages
Comme je l’ai dit, j’adore m’en faire un oreiller. Sur la plage naturellement, j’exige de m’en servir. Mais aussi dans le lit. Sur le canapé. Partout.
Quand il est nu, j’adore le caresser, faire jouer ses petits poils, empaumer chacun de ses globes, les prendre chacun dans une main pour les écarter et le rendre totalement indécent.
J’aime aussi le faire rougir avec mes instruments.
Une rougeur presque uniforme avec les multiples lanières du martinet qui le chauffent sur toute la surface sans lui faire vraiment mal.
Des zébrures avec une petite badine que je réserve pour les grosses punitions et qui cingle ses fesses après un sifflement dans l’air. Elle lui laisse des traces violacées pendant plusieurs jours.
Des petits cœurs comme avec cette cravache que j’adore et dont je vous avais parlé ici Ce n’est pas une punition, ce serait presque une œuvre esthétique.
J’aime l’explorer
Il est d’une pudeur extraordinaire de vierge effarouchée avec son petit trou.
Alors, je m’amuse à l’attacher avec les mains écartées sur les attaches de lit et les jambes relevées par des sangles qui l’obligent à s’exposer complètement à mon bon vouloir.
Je peux l’explorer à loisir.
Forcer son sphincter crispé après y avoir déposé force lubrifiant. Y mettre un doigt, puis deux. Titiller sa prostate, cette petite boule qui vient naturellement au bout du majeur. Le faire gémir.
J’aime le prendre
Puis je prends mon harnais que j’enfile et règle en prenant mon temps. J’introduis dans son logement le dildo que j’ai choisi.
Un mince qui va s’insinuer rapidement dans son fondement et avec lequel je vais pouvoir aller et venir sans effort.
Un plus gros avec des renflements qui va rythmer mes mouvements au gré des efforts variables sur son sphincter et lui faire pousser de petits cris délicieux tandis que les sollicitations sur mon mont de vénus vont me faire monter dans les tours.
Un carrément gros qui va me demander un vrai effort au moment ou je vais l’envahir. Que je ne pourrai manier rapidement sans le faire souffrir. J’observerai d’ailleurs que sa queue se rétracte dans sa cage sous la douleur. Je prendrai moins de plaisir physique donc. Mais quel sentiment de puissance lorsque je sens la résistance de son corps entier que je force. Quel ascendant psychologique sur lui je ressens en l’entendant ahaner sous mes coups de boutoir.
Oh oui, celui-là je le réserve pour les grandes occasions mais quel satisfaction !
Et lui ? Et bien, extraordinairement, il m’avoue après que, même s’il a eu mal, il a aimé être envahi, ce sentiment de faiblesse absolue, cette sensation d’être ma chose.