Implacable !
Un raisonnement implacable
De temps à autres je fais le point avec lui.
Je lui explique comment j’ai pris goût à ces jeux. Comment je ne me lasse pas de prendre beaucoup plus de plaisir qu’avant.
Je le mets devant la réalité. Il n’est plus un jeune homme fringuant.
Il n’a plus une queue aussi vaillante. Celle qu’il avait lorsqu’il était tout jeune. Celle que j’aimais bien même si parfois elle partait trop vite. Celle qui était capable sans difficulté de remettre le couvert dans la soirée, parfois plusieurs fois.
Je fais alors le constat que notre dildo est un peu plus gros que son kiki. Qu’il est inépuisable. Que je peux l’utiliser plusieurs fois sans qu’il faillisse.
Je lui dis combien il a fait de progrès pour me satisfaire avec sa langue. Combien il connait parfaitement mes goûts, combien il me fait monter très haut.
Et quand il est fatigué, j’ai aussi tous mes jouets. Je lui demande d’aller me chercher la boite à malices. Je choisis celui dont j’ai envie. Et, hop, c’est parti pour les orgasmes à répétition.
Et puis, en chasteté il est si serviable, si entreprenant pour les tâches ménagères. Chaque fois que je le libère c’est toute une comédie pendant 3 jours.
Une menace qui ne le fait pas rire
Je lui explique alors que je pourrais laisser la clé au fond d’un tiroir, que je n’ai vraiment plus aucune raison de déverrouiller sa cage un jour. Sauf peut-être pour une courte toilette de temps en temps.
Il blêmit alors. Il se lance dans de grandes explications. Je le coupe rapidement. Je lui dis que ses protestations ne vont faire que retarder une potentielle libération. Que cela me décourage de discuter encore avec lui.
Que si l’on adoptait une chasteté totale et définitive, il s’y habituerait et ne m’embêterait plus. Que j’y gagnerais en sérénité et lui aussi.
Il hésite entre protester encore et s’arrêter en pensant que s’il est gentil, je me laisserai amadouer un de ces jours.
Je lui dis alors d’aller faire ce qu’il a à faire à la cuisine ou dans la maison. Il part la tête basse et en grommelant.
Moi je ris sous cape. J’aime quand même bien sa queue qui m’a satisfaite pendant des années.