On ne touche pas ce qui m’appartient

Merci moltennights pour l’illustration

Plus qu’une question de principe…

Lorsque nous sommes dans le Jeu, je le mets en cage et son sexe m’appartient alors totalement.

J’en fais ce que je veux.

Je le sors quand je veux et uniquement si je le veux. Croyez-moi, deux ou trois jours sans lavage et il ne sent pas la rose mais il n’y a aucun problème d’hygiène. Lorsqu’il fait pipi, tout son bazar s’auto-lave.

J’aime donc bien lui faire sentir qu’il est vraiment enfermé. Dans la durée.

Et j’aime bien qu’il n’ait aucun accès à la queue qui est en cage parce que cette queue est devenue la mienne.

C’est MA propriété.

Il ne doit donc pas pouvoir la toucher.

Moi, en revanche, lorsque je la sors, je peux passer des heures à m’amuser avec elle. Mais attention, en étant précautionneuse. Je ne voudrais pas gâcher des jours de dressage pour un simple amusement.

En tout cas, que ce soit pour la lavage ou pour jouer, bas les pattes, ses mains sont forcément attachées.

C’est une nécessité pour la Chasteté Masculine Contrôlée

De plus, hormis le fait que je ne veux pas qu’il joue avec mon jouet à moi, je pense que c’est un élément essentiel de contrôle.

Observez-les, vous verrez qu’ils passent leur temps à se toucher.

Je n’avais pas remarqué avant, sans doute parce que nous sommes toutes habituées à voir nos mecs la remettre en place toutes les deux minutes. Mais depuis que je me suis faite la remarque, je le constate sans peine. Et cela que ce soient des jeunes ou des vieux.

Ce ne sont donc pas uniquement les hormones qui les mènent dans cette addiction à leur petite bestiole. C’est sans doute plus profond.

Débriefez votre amri ou compagnon et vous vous apercevrez que se toucher la queue est un besoin quasi essentiel. Et, ce qu’il ne vous dira pas, mais c’est ce que je crois, leurs sales habitudes de masturbation ont contribué à empirer la chose.

Donc en CMC, pas touche !

Et je pense que la frustration due au fait qu’ils ne puisse se toucher est aussi importante que celle qui résulte du fait de ne pas jouir.