Sévir en jouant… ou en abusant

Je le connais mon bonhomme, parfois je le soupçonne de faire exprès de mal exécuter mes consignes juste pour que je m’occupe de lui.

Je ne peux pas le décevoir, surtout que ce n’est pas pour me déplaire d’appliquer certaines punitions.

Dans ce registre, la fessée occupe une place particulière. Quoi de plus réjouissant que de l’avoir plié en deux sur mes genoux, pantalon baissé comme un petit garçon.

Cela rappelle le temps de l’enfance. Je me sens comme une maîtresse qui donne la fessée à un vilain gamin.

J’adore le claquement de ma main sur ses globes qui rebondissent au rythme de mes coups. J’adore qu’il se tortille. J’adore qu’il essaie d’anticiper mes coups, sans toujours y réussir. Car quand je le vois se contracter, je me retiens au dernier moment. Et je n’applique mon coup que lorsqu’il commence à se relâcher. Il pousse alors de petits cris, autant de surprise que de douleur.

Naturellement, le lui ai annoncé à l’avance qu’il allait recevoir une fessée pour bénéficier de l’effet de l’anticipation. Je lui ai annoncé une sentence : tant de coups.

Au moment de la punition, je lui fais compter les coups un à un. Il a intérêt à ne rien oublier sinon je reprends depuis le début.

Lorsque j’en ai terminé avec la sentence annoncée, je le laisse en position et lui fais promettre qu’il ne recommencera plus. Il s’exécute et croit qu’il en a fini. En général, il a assez bien supporté. Avec les mains on ne peut pas vraiment faire très mal.

Abuser

Mais parfois je lui déclare qu’il doit recevoir un complément de punition. “Si je ne sais pas pourquoi, lui il le sait” pour parodier la maxime sexiste qui s’appliquait aux femmes avant que nous ne prenions le pouvoir.

Je lui demande combien il mérite et pourquoi. Il me dit naturellement qu’il a été sage comme une image et qu’il a déjà mal aux fesses.

C’est le moment d’abuser. Il avait sans doute fait un peu exprès de me contrarier, il avait anticipé une punition. Je décide donc de lui donner beaucoup plus que ce à quoi il s’attendait, histoire qu’il comprenne que c’est moi la cheffe et pas lui.

Comme en général j’ai les mains déjà échauffées et que ce n’est pas à moi d’avoir mal, je prends alors une tapette. On peut prendre une cuillère ou une palette en bois dans la cuisine, mais l’effet est peu prévisible, aussi je préfère une tapette spécialisée.

Il y en a en bois comme celle-ci :

ou en cuir comme celle-ci de chez Demonia

Je lui applique une dizaine de coups. Pas besoin d’y aller trop fort, l’effet est assez sévère. Ses fesses se mettent à rougir, de belle petites marques apparaissent. Il se met à crier vraiment, ce n’est plus de la comédie. Et surtout, si son sexe était encore gonflé dans sa cage après la fessée, toute tentative d’érection disparait et il rétrécit comme un bigorneau.

Non mais, c’est qui la cheffe ?

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