Parader

La keyholder porte un harnais avec un dildo de strap-on pour pratiquer le pegging avec son mari soumis en cage de chasteté dans le cadre de la CMC et des relations FLR

Le sentiment de prendre

Je sais que pour lui le pegging procure un sentiment mêlé. Lorsque je le débriefe, il m’avoue qu’il aime à m’être soumis et que cette pratique, qui inverse les rôles le renforce dans son rôle.

L’homme a dominé le monde pendant des millénaires au travers d’un régime quasi universel de patriarcat. Ceci est essentiellement lié à nos différences physiques : c’est l’homme qui est le plus fort physiquement. C’est la femme qui enfante. Et c’est l’homme qui pénètre. Voire qui viole.

Dans le pegging, l’homme est maintenant à la place de la femme. C’est lui le dominé, c’est moi la dominante et la pénétration en est le symbole absolu.

Il aime, et dans le même temps il craint.

Il éprouve toujours un peu de douleur à être pénétré par le dildo qui lui distend le sphincter. Surtout lorsque je me lâche et que je finis comme parfois par le pistonner à grands coups de hanches.

Et puis, il n’en éprouve pas de plaisir direct. Malheureusement pour lui, contrairement à ce que je lis de ci de là, il n’est jamais arrivé à un orgasme prostatique dans ces moments-là.

Pour ma part, je ressens au plus profond de moi-même comment je le PRENDS.

Il est ma chose. Je suis une pénétrante. Je le domine. Je suis une violeuse. Une profanatrice du temple du patriarcat. J’éprouve un intense sentiment de plaisir psychique. J’ai retourné la malédiction de l’asymétrie des relations femmes-hommes.

Le plaisir réciproque de l’anticipation

C’est un des plaisirs du pegging.

C’est après tout la base de la chasteté masculine contrôlée, pour lui tout est dans l’attente.

Mais pour moi aussi.

C’est un sentiment très fort que j’éprouve lorsque je me décide à pratiquer le pegging avec mon chéri.

Il faut que je programme les choses, notamment pour que l’hygiène soit irréprochable.

Alors je le préviens très à l’avance. Il a le temps d’y penser et moi aussi.

Je me prépare, il est hors de question que je reproduise l’erreur de débutante de ma première expérience (que je raconte ici)

Et lorsque je me présente à lui avec mon dildo qui tressaute avec mes pas, il est hypnotisé.

Il avait anticipé ce moment, il en a déjà l’expérience. mais il m’avoue qu’il est toujours surpris. Qu’il ne me voit plus du tout comme sa femme. Que même lorsque je lui applique une sanction – et parfois il m’arrive d’être sévère – il ne ressent rien de comparable.

Je prends mon temps. Je parade devant lui, m’amusant de voir ma queue se balancer comme un vraie.

Il ne voit plus que ça et j’ai l’impression qu’il est comme devant un match de tennis, avec son regard qui va de droite à gauche, de gauche à droite… au gré des balancements de mon engin.

Il se demande comment je ferai aujourd’hui. Ce que j’ai prévu. Ce que je pourrai improviser.

Car il sait que j’adore anticiper et prévoir un scénario. Mais que je sais tout aussi bien improviser et sortir du cadre.

Ces moments pendant lesquels je tourne et retourne devant lui, l’agaçant à plaisir sont des moments intenses.

Orgasme ?

Ce n’est pas facile d’éprouver un vrai orgasme avec ce fichu harnachement. même si nous avons maintenant le top, un harnais Strap-on-me qui colle la ventouse du dildo en silicone tout doux juste au-dessus de mon clitoris, sur mon mont-de-vénus.

harnais de strap-on-me pour fixer un dildo juste au-dessus du clitoris pour éprouver un orgasme en pratiquant du pegging avec mon mari en cage de chasteté

J’ay suis déjà arrivée mais ce n’est pas à tous les coups, loi de là.

Et il faut dire que lorsque j’y arrive, c’est en y allant franchement et je sais qu’il déguste dans ces moments-là.

Alors, j’ai quelques remords. Même s’il me dit que ce n’est pas grave, que l’essentiel est que j’y prenne du plaisir.

Mais le plaisir, je l’ai de toute façon, au moins sur le plan intellectuel.

Et ça…

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