La frustration pour vous aussi

Vous aussi vous pouvez jouer

Il est en cage et vous avez tout pouvoir sur lui. Vous en profitez de façon éhontée en lui demandant de vous procurer des orgasmes matin, midi et soir.

Mais vous voulez changer, apporter de l’innovation.

Expérimentez la frustration pour vous.

Vous programmez une journée de montée du désir pour vous un dimanche.

Un programme précis

Vous lui donnez le samedi soir un programme avec tout ce qu’il devra faire le lendemain.

Au réveil, il devra vous caresser partout, sauf sur les zones érogènes. Un massage, des effleurements, des caresses, des baisers légers. Il doit parcourir votre corps sans jamais approcher de vos endroits trop sensibles.

A 11 heures, il devra s’occuper de vos pieds. Les masser, les embrasser. Lécher un à un vos orteils, les sucer, les aspirer… Vous verrez, c’est divin !

Après le repas, une fois votre café pris, il devra s’occuper de votre fessier. Le masser, le pétrir, le caresser, l’embrasser. Et puis le parcourir avec la langue, aller titiller votre petit trou, le pénétrer légèrement, effectuer des petits cercles.

Je suis sûre que vous commencerez à ne plus en pouvoir du désir de jouir. Résistez à la tentation.

Vers 16 heures, vous lui demandez de s’occuper de vos seins. Je ne sais pas vous mais j’arrive maintenant à presque atteindre l’orgasme juste des seins tellement il est devenu habile à les sucer, les pétrir, les mordiller… Retenez-vous d’aller au bout, juste pour le plaisir de l’attente.

Enfin, vers 18 heures, vous lâchez votre cheval. Vous lui donnez 20 minutes pour vous faire jouir le plus de fois possibles, timer en marche.

Mon mec, dans ces cas-là est incroyablement motivé. Il s’est excité toute la matinée et l’après-midi. Surtout s’il est en cage depuis un moment, il est complètement frustré pour lui. Il n’a qu’une envie c’est de trouver au moins un exutoire dans ma jouissance à moi.

Quant à moi…

Je ne vous fais pas un dessin, après une journée à me retenir, à attendre, à y penser en permanence, je n’en peux plus de désir.

Je lui demande de commencer avec sa langue, mais ensuite il a le droit d’utiliser tous mes petits engins.

Pendant 20 minutes, c’est une suite sans fin de montées, de plateaux, de très courtes descentes, de remontées…

C’est en général en sueur comme si j’avais couru un 20 km que je termine la séance.

Il a l’ordre d’arrêter instantanément tout geste lorsque le timer sonne.

Cela fait partie du jeu. Moi cela peut me surprendre totalement au milieu d’une montée… Tant pis ! Cela sera d’autant meilleur lorsque je prendrai du plaisir la prochaine fois.

Quant à lui… Lui, je m’en fiche, il sera toujours prêt à recommencer lorsque je le lui demanderai.

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