Le male-mener

la keyholder examine le sexe de son mari soumis en cage de chasteté. Pour que la dynamique de la CMC fonctionne, il faut que la cage soit serrée sur la verge.

N’oubliez pas de lui faire passer ses examens

Il ne faudrait pas que la bestiole s’abime. Parce que sinon vous seriez obligée de la libérer pour qu’elle guérisse et alors adieu les joies du contrôle.

Alors observez la régulièrement.

Et cela ne dépend pas de ses jérémiades. Dans tous les cas, vous savez bien qu’il a tendance à exagérer. Qu’il se plaint juste pour que vous vous occupiez de lui.

Non, fixez vous une fréquence.

Comme je vous l’ai déjà dit, pour un pénis non circoncis comme celui de mon chéri, un lavage tous les deux jours est largement suffisant.

Mais cela ne suffit pas pour s’assurer de la sécurité de votre possession dans la cage. Et puis vous pouvez avoir envie de jouer.

Personnellement, je contrôle la bébête une à deux fois par jour. Et pour m’amuser, jamais lorsqu’il s’y attend. Et surtout pas s’il le demande et quand il le demande. Après tout, s’il y avait un réel problème, il a un mot de sécurité.

Profitez en

Je m’amuse donc à observer la bestiole.

En général, si je le prends par surprise, je constate qu’il a finalement un peu de place dans la cage et qu’il n’est pas comprimé. C’est rassurant pour la bonne santé du petit engin.

Naturellement, surtout si je joue un peu, il grossit et essaie de passer au travers des barreaux de la cage. Je vois ses chairs qui gonflent et des bourrelets qui se créent. C’est amusant car plus je m’amuse à les caresser, plus ils grossissent.

Trop petite ?

Du coup il se plaint : Princesse, tu vois bien que la cage est trop petite !

Mais moi je sais que ce n’est pas vrai.

Lorsque je passe sa queue sous l’eau froide, comme lorsqu’il se baigne en Bretagne, elle devient minuscule et aurait largement la place.

Alors s’il n’a pas suffisamment de place, c’est de sa faute. Il n’a qu’à pas essayer de bander !

Il proteste et me dit que c’est de ma faute. Que c’est moi qui le provoque. Qu’il me désire.

Mais moi je lui réponds qu’il m’appartient. Que je peux jouer avec lui comme je veux et quand je veux.

C’est à lui de réprimer ses vilaines pensées.

Et d’abord, est-ce que je l’ai autoriser à bander ?

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