Jeu d’eau

Une douche à deux

Une douche à deux, chez nous, ce n’est pas forcément une douche pour deux.

Je suis la Keyholder, je suis sa Princesse, il n’est pas question de symétrie dans notre relation lorsqu’il est en cage et sous ma dépendance.

Quand je prends une douche, j’aime bien qu’il me savonne partout avec le gel douche neutre que nous avons à la maison. Ce n’est pas vraiment pour me laver, juste pour que ce soit tout doux et glissant lorsqu’il parcourt le moindre centimètre carré de mon corps.

Naturellement, il y a des zones sur lesquelles il doit insister. Je le guide de la main et de la voix pour qu’il suive les courbes et frémissements successifs de mes zones érogènes.

Ce n’est absolument pas écologique, on utilise sans doute beaucoup trop d’eau chaude… Mais c’est si bon !

Je lui demande ensuite de s’agenouiller, j’agrippe ses cheveux et je le fais me lécher jusqu’à ce que les petits paillons envahissent mon bas-ventre.

Fontaine

Je ne suis pas ce que l’on appelle un femme fontaine. Quand on est au lit, je n’ai pas de problème d’inondation comme parait il certaines femmes.

Mais là…

Là je me lâche !

Souvent, je me prends à relâcher mon pipi en même temps que je jouis.

Essayez, c’est extraordinaire comme sensation, le relâchement total. Le pied intégral.

Je pisse sur lui en même temps que je me laisse aller à crier.

Pauvre de lui, lorsque je reprends mes esprits, il est en général tellement gonflé dans sa cage qu’il est illusoire de vouloir la lui retirer sans lui faire mal.

Bah, pas grave, je lui demande de juste de se laver sous les bras et entre les fesses, le bigorneau attendra dans sa cage.

Et s’il sent la crevette, cela me rappellera pourquoi je ne l’ai pas lavé. Et je me remémorerai ce plaisir intense qu’on ne peut obtenir que de cette manière. La douche où tout est permis.