Il faut être cohérent !

Une punition méritée

Oui, je dois avouer, ce matin j’ai été sévère avec lui.

Il a pris un peu de poids cet été et nous avons entrepris de le faire maigrir. Je dis nous car si je suis celle qui l’examine, qui lui fixe les objectifs et lui donne des moyens nutritionnels (je suis médecin, c’est facile), c’est bien lui qui doit les appliquer.

Or, depuis deux semaines, plus aucun progrès. Il accusait même presque 1 kilo 500 de plus sur la balance ce matin alors que son régime devrait lui en faire perdre presque deux.

La semaine dernière je m’étais contentée de lui sucrer une libération de cage.

Cette semaine, il me fallait aller plus loin.

J’ai donc utilisé notre cravache. Ce n’est pas parce qu’elle est en forme de cœur – j’adore l’ironie – qu’elle n’est pas efficace. Il faut que je me modère parce que si je m’énerve, elle peut produire de gros dégâts, en tout cas plus que ce que je veux.

Je l’avais prévenu, ce serait un coup par 100g en trop

Il s’est mis à chouiner au bout de 10, il a presque failli utiliser le mot de sécurité. Mais je voulais aller jusqu’au bout et je l’ai fait.

Il faut qu’il me prenne au sérieux, après tout c’est pour son bien.

Libération ?

Naturellement, après toute punition, vient la consolation Je l’ai longuement pris dans mes bras entre mes seins en lui disant des mots réconfortants. Et en lui expliquant qu’il devait et pouvait réussir.

C’est alors qu’il s’est mis à gémir en me disant que j’avais été cruelle de ne pas le libérer la semaine précédente.

Mon sang n’a fait qu’un tour.

Je lui ai rappelé que c’est lui qui l’avait voulu en ne tenant pas ses engagements.

J’ai donc été très sèche en lui disant que je ne voulais plus qu’il évoque cela jusqu’à l’échéance prévue 5 jours plus tard sinon je recommencerais et son bigorneau ne verrait pas le jour encore une semaine de plus.

Il a carrément paniqué, je le voyais à son regard perdu.

Je pense que la leçon a fait effet.

Mon assurance

J’ai acquis depuis quelques temps une vraie assurance.

Au début, c’est lui qui a introduit les jeux de chasteté. Il a essayé de diriger les choses d’ailleurs. Il me disait ce que je devais faire. Il me demandait d’être cruelle, dominatrice, cynique.

Et bien, c’est ce qui est arrivé !

Et il ne le supporte pas toujours. Mais je m’en fiche, moi cela me va très bien. J’assume. Je m’assume.

Et c’est à lui d’assumer !

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