L’enfermer et le remplir

Vous devenez inoubliable

Je ne le fais pas forcément lorsqu’il est en charrette au travail.

Mais lorsque cela se relâche, que je peux le soupçonner de faire traîner la pause du déjeuner, d’aller boire des bières avec ses collègues après le travail, alors je peux me lâcher.

Je sais qu’il ressent ma cage comme une main qui lui enserrerait la queue en permanence. C’est une sorte de pouvoir que j’ai à distance pour qu’il se rappelle que je le tiens par là.

Mais il commence à en avoir l’habitude après toutes ces années.

Alors j’innove !

Le matin, avant qu’il ne parte au travail (il part en général plus tôt que moi), je l’oblige à me donner un petit cunni vite fait, histoire de lui donner mon goût dans sa bouche.

Puis je le fais mettre à 4 pattes, bien cambré, les genoux écartés et les fesses bien ouvertes.

Je prends le gros Rosebud, celui en inox massif qui pèse bien 300 grammes. Je le lubrifie un peu et, sans apprivoiser son petit trou du doigt, je lui enfonce l’engin assez brutalement dans le fondement.

Pas de risque de déchirure, je sais quelles sont ses limites. En revanche, il sentira son petit cul toute la journée.

Ce n’est pas tout

Je sais, pour l’avoir débriefé de nombreuses fois, et l’avoir observé aussi, qu’il ne pourra oublier cet engin magnifique de la journée.

Lorsqu’il marche, le poids lui pèse sur le sphincter et le gène. Il marche les jambes un peu écartées. On dirait le cow-boy de Lucky Luke.

Lorsqu’il s’assied ou remue sur sa chaise, il faut que l’engin prenne sa place, il tortille du cul pendant quelques minutes à chaque fois.

En permanence il pense à moi !

Et le soir…

Lorsque vient le soir, il est dans un état d’excitation incroyable.

Il me dévore littéralement des yeux. Il bave devant moi. Il me supplie que nous ayons une séance sexuelle.

Moi je fais traîner les choses même si, de mon côté, je suis toute excitée d’avoir pensé à mon pauvre bonhomme toute la journée.

Et lorsqu’enfin je consens à ce qu’il me déshabille, je suis déjà toute dégoulinante dans ma culotte.

Je ne le libère pas pour autant, j’aime bien qu’il reste le cul envahi par ce gros plug. Je m’amuse à en apercevoir le scintillement entre ses fesses.

Je ne retire pas plus la cage, ce n’était pas prévu au programme.

Je me contente de le laisser faire pour me faire jouir encore et encore avec l’énergie de toute la tension sexuelle qu’il accumulée pendant toute la journée.

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