Gourmandise

Du plaisir de le faire monter vers le plaisir

L’atout principal de la CMC pour nous est naturellement les plaisirs que nous pouvons en retirer.

Mais il y a les plaisirs directs et les plaisirs indirects.

Personnellement, j’adore jouer avec son petit oiseau.

Je le libère de sa cage après que je me sois assurée qu’il ne pourra pas interférer avec nos jeux.

Les jeux que je veux avoir c’est entre l’oiseau et moi, pas avec lui.

Je suis obligée en général d’attacher mon bonhomme autrement je n’arrive pas à le maîtriser, surtout s’il est en cage depuis longtemps.;

Là je suis tranquille pour le temps que je veux pour jouer.

Je le léchouille, je le titille, je le frotte doucement avec du lubrifiant. J’utilise un plumeau que j’adore et qui provoque juste ce qu’il faut de sollicitation.

Je surveille la bestiole, je guette ses frémissements, ses spasmes…

Dès que je sens qu’elle pourrait approcher du dénouement, je la délaisse un certain temps, je la laisse refroidir. Parfois, j’attends carrément qu’elle mollisse un peu.

Puis je m’attaque à ses petits tétins que je mordille. Je vois la bestiole qui reprend de la vigueur.

Je la réattaque directement. J’entends son porteur qui se met à gémir. Qui me supplie d’aller plus loin, plus vite. Tout ce que je ne veux pas.

Je prends au contraire tout mon temps. Je m’amuse de voir du liquide transparent suinter de son méat. C’est un lubrifiant formidable. J’en prends une goutte pour lui parcourir le frein de la pulpe du doigt, jouant à faire sursauter de frustration la bestiole.

Il approche de stade fatidique. Comme j’aime le risque, j’essaie de le maintenir le plus longtemps possible à la frontière. Je suis alors super attentive et concentrée.

Lorsque je sens que les barrières risquent de s’ouvrir vraiment, je calme le jeu.

Je vais faire un câlin sage à mon chéri qui se débat dans ses attaches. J’attends qu’il se calme. Et j’y reviens…

Les meilleures choses ont une fin

Cela peut durer très longtemps tellement c’est passionnant.

Lorsque je commence à me lasser, j’arrête toute agacerie. J’entame une conversation avec mon bonhomme. N’importe quoi mais surtout pas du sexe.

Je le recadre lorsqu’il tente de me supplier d’aller au bout.

Son oiseau doit être fatigué de la séance parce qu’il mollit en général assez vite. J’en profite pour remettre sa cage sans entendre ses protestations.

Il est alors temps de m’occuper de moi-même

Je ne sais pas vous, mais pour moi ce genre de séance est terriblement excitant. J’en suis toute trempée.

Je profite alors du fait qu’il est attaché sur le dos pour entamer un 68 d’enfer. Ou alors, je prends un de mes engins vibrants et je me donne du plaisir en commentant mes sensations pour lui.

C’est bizarre, mais son engin retrouve de la vigueur dans sa cage.

Cela me procure encore plus de plaisir pour moi que de voir cet état de frustration absolu dans lequel je l’ai plongé. .

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2 Comments

  1. Bonjour madame, votre récit est pratiquement exitant et je suis fasciné par les couples qui pratiquent la chasteté masculine. Comme je ne suis pas un professionnel des réseaux pourriez vous me communiquer votre lien afin que je puisse suivre vos aventures ? Merci et peut-être à bientôt.

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